« Jusqu’ici, l’africain n’est rentré dans l’histoire de la mondialisation en tant qu’acteur, qu’à travers deux faits principaux : notre participation aux deux Grandes Guerres et, désormais, grâce à nos performances au football (…) La sensibilisation, la communication à tous les niveaux et peut-être même en plusieurs dialectes est importante. Car, la finalité de tout cela est d’amener les uns et les autres à voir et à pratiquer LBV-RACE comme une fierté. Ainsi, cela permettrait à chaque africain de réaliser que l’Afrique est productive et non pas uniquement consommatrice. Briser le mythe d’une Afrique qui ne sait faire que du basique. »