Le marché africain est inondé de produits cancérigènes, des tueurs silencieux. Et si des entrepreneurs africains décident de produire sain et local, pensons, chacun à sa façon, à leur donner un coup de pouce.
Artisanat
Entreprendre ? C’est un si grand mot et qui prend tellement de forme. Mais, le plus important dans ce verbe, ce n’est pas de commencer, mais de persister.
De retour au Gabon, en fin 2016, survienne des problèmes de santé due à sa consommation excessive de soda. Ainsi, soucieuse de son état, elle est contrainte de trouver du plaisir sucré dans d’autres boissons que celle que l’on trouve sur le marché. Epuisée de dépenser des sommes importantes pour un simple jus d’orange, qui coûte deux (2) à trois (3) fois plus cher qu’un soda, une réflexion financière s’impose.
“La confiance, la satisfaction et l’encouragement de mes clients… et aujourd’hui mon fils, me donnent envie de toujours me battre. J’ai toujours considéré Ikika Wax comme mon premier enfant. Une femme peut-elle abandonner le fruit de ses entrailles ? Je ne pense pas.”
COVID-19 : les artisans gabonais se mettent à la fabrication de masques de protection normalisés.
Avec cette situation inédite de crise sanitaire mondiale liée au COVID-19, les masques de protection médicaux sont devenus la ressource rare que les nations s’arrachent.
Encore faut-il pour cela s’appeler France, Etats-Unis, Allemagne, etc. Nous assistons à la reconversion de certaines grandes usines en fabricants de masques et de solutions hydroalcooliques. Pour les pays en développement comme le Gabon, nous n’avons d’autre alternative que de nous en remettre à des solutions aussi bien pratiques que peu chères.
Le nom Wax Panther m’est apparu comme une évidence car je voulais créer une marque qui prône l’identité et la fierté noire.